Les Arabes: un “has been” phatétique

Les arabes sont-ils vraiment des minables qui n'ont rien donné au monde?

Tout le monde parle aujourd’hui des records de l’Occident regroupant le vieux Continent (l’Europe) et le nouveau monde (l’Amérique et le Canada), comme s’il n’a jamais existé un Orient et une Afrique de Nord dont les records ont été violés, mais aussi le reste du monde, tel que la Chine.

Jadis, comme le montre plusieurs penseurs arabes, tel Abbas Mahmoud Alaqad, dans « l’impact des arabes sur la civilisation Européenne », les arabes étaient les premiers à fonder des écoles et à découvrir des théories.
L’histoire élucide à quel point les médecins, les mathématiciens et les philosophes arabes, ont aidé l’Occident au moment de la crise, bien avant la Renaissance et les lumières, à se relancer.

Video: Mille et une invention – Starring Ben Kingsley

Par ailleurs, la soi-disant civilisation européenne n’a offerte au monde arabe que du malheur ; des guerres ça et là, de la violence, de la colonisation.

Alors que l’Europe s’enfonce dans des siècles obscurs, l’Islam rayonne, son empire devient entre le VIIe et le XIIIe siècle l’un des deux principaux centres de civilisation.

On s’interroge avec peine si Bagdad, la capitale de l’Empire abbasside fondée en 752, le centre de culture et de connaissance du monde pendant des siècles, ne mérite-t-elle pas d’être plus fameuse que Paris? Et Damas, la capitale des Omeyyades, qui a été détruite?

Autant de causes ont contribuées à cet état de faiblesse absurde que vit le monde arabe aujourd’hui. Il suffit de se mettre à la place des ancêtres pour se rendre compte de notre crise. A rappeler que la guerre fait partie intégrante de ce renoncement à la gloire. Le monde arabe a vécu en peur et demeurera ainsi au cas où la guerre continue.

Les Arabes: un “has been” phatétique

Exit mobile version